QAnon et ses pizzas démocrates satanistes pédophiles, le Covid évadé d’un labo, le vaccin et ses nanites 5G pour que Bill Gates nous trace, un peu de chemtrail et tout ça sur une Terre plate… Aussi hilarant (ou désespérant) que
CRITIQUE GARANTIE 110% SANS SPOILERS (Même pas qu’il revient…) « Every journey has a first step » nous rappelait-on en 1999. « The saga concludes » nous annonce-t-on vingt ans plus tard. Après deux épisodes qui ont divisé les fans, en particulier le dernier,
A là recherche du temps perdu. Voilà comment on pourrait intituler la saga éditoriale des X-Men depuis la fin de leur âge d’or (les années 80-90-début 2000 où mettre un X sur une couverture garantissait un spot dans le top
CRITIQUE GARANTIE 100% SANS SPOILER (en même temps, même avec de la bonne volonté je ne vois pas quoi spoiler… Il devient le Joker ?) Jack Nicholson, Heath Ledger, Jared Leto, autant d’interprètes de talent (et Jared Leto) qui se
CRITIQUE GARANTIE 100% SANS SPOILER (Pas même le super twist scénaristique du milieu du film qu’on ne voit pas mais alors pas du tout venir ouhlala quelle surprise…) Et de sept. C’est en effet la septième fois que Spider-Man a
CRITIQUE GARANTIE 99% SANS SPOILERS (c’était quand même un peu dur de ne pas dire qui tourne mal…) Dire que tout est un éternel recommencement est un cliché qui correspond particulièrement bien aux comics, ainsi qu’aux films que ceux-ci ont
CRITIQUE GARANTIE 100% SANS SPOILER. (Même pas… ben en fait même pas de même pas. Rien, nada, zip.) Ça y est. Il est enfin là. Le quatrième volet des aventures des Avengers arrive enfin pour baisser le rideau sur plus
CRITIQUE GARANTIE 100% SANS SPOILER (même pas le vrai nom de Nick Fury) Petit tour dans les coulisses : c’est la troisième accroche que je tente pour ce papier, les deux premières ayant été immédiatement centrées sur la dimension symbolique de
J’ai un problème avec Big Bang Theory. En fait j’en ai plusieurs, à commencer par l’image de loser congénitaux que cette série donne aux fans de comics et autres aspects de la « culture geek ». Mais mon plus gros problème, c’est
[Disclaimer : Cet article est moins une critique qu’une longue lettre d’amour à un film que j’ai réellement adoré. Je préfère donc annoncer la couleur : l’objectivité dont je m’efforce de faire preuve (pour autant qu’une critique puisse être objective) n’a pas